Venez à Paris, qu’ils disaient, c’est ici que tout se passe. C’est bien gentil tout ça mais après une Zombie-Apocalypse, ça fait quand même plus de deux millions de zombies à se coltiner. Vous me direz que vous ne voyez pas de très grande différence entre un parisien et un zombie – même sourire inexistant, même amabilité, même propension à vous sauter dessus pour un regard en coin – et quelque part, ça se défend. Mais je n’entrerai pas dans ce débat-là, restons concentrés sur notre interrogation du moment : [...]